Phénoménologie et double éclairage
On a ici un élément de réponse à la question que je soulevais plus haut de la place privilégiée de la phénoménologie dans tout projet de double éclairage : c’est parce que la phénoménologie est a-dogmatique et parce qu’elle vise « les choses telles qu’elles se donnent qu’elle entretient une parenté avec la phénoménologie.
Mais tout de même, on pourrait objecter que la question du sens de l’être n’est pas une question qui vient immédiatement à l’esprit…
Est-ce qu’elle n’est pas une question un peu abstraite et sophistiquée ?