8 Réparer les vivants
Maylis de Kerangal, et son livre Réparer les vivants (2014), est un bon exemple de ce groupe et de ses choix (les incultes : regroupés autour de la revue littéraire intitulée Inculte) .
L’œuvre consiste ici à suivre l’histoire d’une transplantation cardiaque.
On a un retour à des formes romanesques qui sont amplement informées et qui sont basées sur cette information.
Une enquête minutieuse précède ainsi l’écriture, comme chez Zola. On peut même parler, dans certains cas (comme chez Mathias Enard) de « roman érudit ».